Le musée, délaissé depuis des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls quatre ou cinq rayons de journée filtrant via les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait doucement par les couloirs poussiéreux, son regard défini sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis de nombreuses https://eduardosekor.blogdun.com/34430545/la-confidence-des-faciès-effacées