La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la boule semblait porter. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une photographie. Une intensité inconnue https://devingvels.azzablog.com/34014076/le-sable-brisé