La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait irrévocable, saisissant l'opportunité de suivre l’immense matériel d’acier ténébreux qui sifflait https://trevorcnuaf.blue-blogs.com/41198690/le-train-sans-retour