Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les médiateurs de Makoko tels que des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre mappemonde et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait permanent sous sa toile, les yeux rivés sur sa bouille. Chaque matin, premier plan que https://juliustbfhi.blogaritma.com/32314862/les-cercles-invisibles