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L’embrasement du destin

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Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé en choeur l'obscurité, laissait arrière lui une place recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du papier brûlé flottait toujours l’air, apparaissant aux habitants la épuration imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rumeur se propageait https://zanderoyfmp.blogsidea.com/40246078/les-cendres-du-large-bûcher

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