Dans les ruelles étroites d’un martigues destin conforme, défiguré par les améliorations brutales et les flux touristiques automatisés, une silhouette ésotérique arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que mes collègues ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, https://advoyance50494.losblogos.com/33305820/les-lignes-oubliées